Le fantôme de Madeleine de Marc Arseneau (recension épistolaire par Nathalie Gauvin)

Arseneau-Fantome de Madeleine

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LE FANTÔME DE MADELEINE de Marc Arseneau. J’ai lu ton recueil, cher Marc, et plusieurs de tes poèmes m’ont interpellé dans leur langage unique à nul autre pareil.

J’y ais sentie toute ta sensibilité, ta vulnérabilité écorchée et sous-jacente qui aiguise et nourrie ta plume prodigue.

Merci de m’avoir fait le cadeau de tes mots, de tes états d’âme, de tes déchirures, de t’être livré de façon si authentique et personnelle.

J’ai beaucoup aimé « Passion », « Conventum », « Que laisse », « Trois-Rivières » avec la citation de Baudelaire (Les fleurs du mal) en fin de texte, pour ne nommer que celles là…

J’ai reconnue dans cette poétique langueur à décrire l’amour, la vie et la beauté des choses, un peu de celle qui m’habite et me touche jusqu’au plus profond de l’âme.

Les mots sont des phares qui éclairent la route des navires en partance qui mettent voiles au plein sens et les tiens sont le vent qui gonfle leurs voiles et leur font braver l’infinie solitude de la haute mer en quête d’un destin qui est plus grand que soi…

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