Sœurs auréole (Hélèna Courteau)
. On sait qu’à la poly, on ne trouve pas une seule jeune femme mais une infinie d’âmes. Là où l’esprit vous invite.Là où le cœur vous convie.Voilà le lieu […]
. On sait qu’à la poly, on ne trouve pas une seule jeune femme mais une infinie d’âmes. Là où l’esprit vous invite.Là où le cœur vous convie.Voilà le lieu […]
Le temps est indiscutablement un faux fuyant . Comme si j’avais changé de planète Je ne l’ai pas reconnue Elle passe une main sur son front Pour chasser quelque nuage, […]
. J’aime entendre siffler un homme dans la forêt accompagné d’un enfant J’aime le bruit que fait la mer, les yeux mi-clos au fond de mon hamac. Sur la plage […]
Je n’en peux plus de ce monde qui ne comprend rien à ma douleur… (p. 134) . YSENGRIMUS — Pour son premier ouvrage en prose (on lui doit déjà un […]
. YSENGRIMUS — Le texte en prose fictionnel contemporain, que ce soit celui de la littérature élitaire ou de la littérature de masse, est passablement déterminé par le poids des […]
. Sur une rue piétonnière, un soir de semaine, un vieil afro-descendant accueille les passants et les passantes. Jouant au douanier de la rue Sainte-Catherine, il décline les rôles: «Passez […]
Le droit de sauter à tout heure du jour dans les flaques d’eau. Le droit aux œuvres musclés, Le droit aux arbres géants des forêts anciennes. Elle plonge dans la […]
. Les souliers rouges prennent vie dès que le marcheur les chausse. Ils se dérident à l’ajustement du pied qui les pénètre. Ils sont heureux ces souliers, de reprendre du […]
. Puis il part, ses chaussures de cuir italiennes aux pieds. Au fil des paysages du long voyage vers la mer Adriatique, suivant le cheminement des cultures, les musés d’art […]
. Je n’ai plus la fureur de courir les trottoirs. Je n’ai plus la fureur de rouler sur les autoroutes. Je n’ai plus la fureur d’écrire des pamphlets sur des […]