Nos retrouvailles (Pierre Charles Généreux)
. Tu pars sans prévenir, aussi leste qu’un nuage,Comme la marée bleue se retire sur la plage.Le temps n’a point ici une égale valeurQuand je suis laissé nu privé de […]
. Tu pars sans prévenir, aussi leste qu’un nuage,Comme la marée bleue se retire sur la plage.Le temps n’a point ici une égale valeurQuand je suis laissé nu privé de […]
. Le soleil est regardé en face, lentement les ombres s’allongent En redessinant la géométrie du sol. Il y avait toi ma sœur, une pierre dans la poche Posée près […]
. Je me souviens de ces doux matins de Noël Alors qu’enfant, la vie était simple et belle Dans un foyer où nous étions choyés Par des parents qui nous […]
Ce sont souvent ceux qui ne le savent pas encore qui détruisent le monde. Jean-Pierre Bolduc (p. 134) . YSENGRIMUS — Voici un recueil de quatre longues nouvelles (presque des […]
. J’ai gardé en tête nos baises sulfureuses,Maintenant nos ébats, une plainte, m’arrachent.Nos trop rares étreintes sont devenues rugueuses,Nos baisers sont plus froids que le fil d’une hache. Ma musique […]
. Cantonnent les mots, Entonnent leurs chants, Comme un livre ouvert Partitions sur la feuille voltige, Volent par-ci, par-là Ne vous disent qu’un soupçon d’eux Dans l’étang aux castors flottent […]
. YSENGRIMUS — Le développement historique n’est ni linéaire, ni ondulatoire, ni pendulaire, ni cyclique. Il avance par vastes phases, par bonds immenses et d’une manière accidentée et irréversible. Les […]
. Les petits riens qui dessillent les yeuxLe boisé Chant pour un été sans fin Revenir de très loinSi éblouieJe fais semblant d’y croire, au ciel Je me mets en […]
. Rien n’est plus silencieux Que ces matins à sentir le souffle. Le souffle chaud de celui Qui ne va pas vraiment se toucher. D’aériennes caresses frôlent doucement le cou […]