De la précarité du cœur et des choses (Pierre Charles Généreux)
. De l’araignée, le fil, tout couvert de roséeSaura-t-il résister aux attaques du vent?Nos traces sur le sable à l’assaut des marées,L’amour que l’on se porte à celui du présent? […]
. De l’araignée, le fil, tout couvert de roséeSaura-t-il résister aux attaques du vent?Nos traces sur le sable à l’assaut des marées,L’amour que l’on se porte à celui du présent? […]
. Bio poésie Ma Georgia Je sais que tu reposes en paix Après soixante-dix-huit ans les mains dans les fleurs les pieds dans les montagnes Tes toiles habitent le sud […]
. Nous sommes le samedi 30 janvier 1965 et le premier ministre britannique Winston Spencer Leonard Churchill vient de mourir, une semaine auparavant. Mon père, ancien combattant de la marine […]
. Dans les yeux de mes filles… toujours, jamais… Elles sont dans un monde immaculé, fragileOù plus noirs sont les loups, plus profonde est la nuit.Tout l’horizon est blanc, le […]
. Pour approcher l’abysse Il faut s’abandonner Les obtus, les jocrisses Ne sont pas invités L’abysse est polychrome Elle est déchiquetée Elle est la croûte qui ose Ne pas représenter […]
. Le feu sacré N’est jamais assuré Il frissonne, il est ivre Il faut le laisser vivre L’observer, l’encadrer Mais ne pas l’étouffer, Les générations Ont tout simplement cela pour […]
. Jean-Baptiste est dans le panier Ou peu importe son nom C’est une histoire contemporaine La noble et sa servante complices dans le drame rejoignent Elizabeth de Kamouraska quelques trois […]
La Musique hante la mémoire, n’est pas résumable, et est indéfinissable. Paul Valéry (Analecta, aphorisme XCIV, note 2) . . En écrivant les «églogues instrumentales» (cinquante poèmes sur cinquante instruments […]
EN RÉPONSE À… (1981) (Louise Demers 1952-2014) Souffrir c’est rendre l’âme, rendre les armes aux portes du bonheur Mettez voilette noire devant mes yeux qui pleurent Voyez le drapeau blanc […]