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Aujourd’hui, j’ai lu L’ANGE DU NOUVEAU MONDE, le dernier recueil de poésie de mon prodigue ami, Jean-Simon Brisebois. Il se lit comme on raconte sa vie, des chagrins de l’enfance à l’homme qui se cherche à travers cette quête éternelle d’amour qui définit qui nous sommes. Jean-Simon a choisi de confronter ses démons et de magnifier le meilleur en lui, pour contrer les affres du destin et de faire de je pense donc je suis, « j’écris donc je suis » car en vérité, pour tout ceux qui portent en eux cette foi plus grande que l’adversité dans laquelle se joue la vie… au commencement était le verbe…

Merci mon ami pour tes mots qui insufflent la beauté partout où la poésie de ton souffle s’épanche et nous émeut, s’infiltrant au plus profond de notre âme, suave tel un zéphyr parfumé et divin…