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Un amas de froid, de points, de poids du givrant de l’apparence
S’il semble qu’elle vive, sans vivre ce qu’elle a à vivre
Rien n’est rien
Qu’un leurre, leurrant un monde endormi, soumis d’insignifiances
Implosions neuronales incandescentes, racontent sa peau, son cuir
Mer contenue brouillant, déboulant sa révolution, son destin
En ses formes multipliées germinent, impriment son chemin
Sillons innombrables, innommables, insondables
Promesses marginales
Toutes partent, parlent d’elle
Elle, centrale, glissante glaciale
Fracassante, givrante