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Je meurs à petit feu, depuis que tu es parti
Le soleil ne s’est jamais levé dans ma vie
La nuit est restée maîtresse
Dans mon cœur, je cherche l’ivresse
Qui me fera oublié cette douleur
Que tes souvenirs ont laissé dans mon cœur
Depuis que tu es parti, tel un fugitif
Ton absence nous laisse comme écorchés vifs
Laissant derrière toi un destin cruel
Où la nuit a perdu ses étoiles
Je nage dans le flou
Et plus rien n’a de goût
Je te dis, adieu
z’yeux bleus
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Merci du Cœur, chère Nathalie, pour cet élan de plume-catharsis qui accompagne la douleur de l’absence, par la manifestation pure de notre Essence ! D’un cœur solaire et solidaire, Stéphane