L’appel de l’écriture (Nathalie Gauvin)
. En grandissant, je me suis appliquée à comprendre toutes ces perceptions sensibles qui m’habitaient de leurs frissons, et, pour mieux les définir et en cerner les mystères, inlassablement, j’en […]
. En grandissant, je me suis appliquée à comprendre toutes ces perceptions sensibles qui m’habitaient de leurs frissons, et, pour mieux les définir et en cerner les mystères, inlassablement, j’en […]
. Ainsi les bateaux savent-ils aimer la mer mieux que le cœur imparfait de l’homme car ils n’ont pas peur de prendre le large et de braver l’inconnu, d’abandonner leurs […]
. Pour aimer, il faut avoir vécu, renoncé, possédé et perdu. Il faut avoir donner et reçu. Il faut avoir mesuré la démesure, défendu l’indéfendable et vaincu. Il faut avoir […]
. Chère Lara, Quand tu chantes, quelque chose en moi s’exalte, s’enivre et se transcende. Tu es cette voie (voix) d’accès vers le sublime. Ton souffle, ton verbe, ce miroir […]
. La santé? Mais voyons, bien sûr que TOUS nous savons ce que c’est! Vous me parlez de celle qui est de tous nos débats, de tous nos combats. Véritable […]
. Toi qui n’es plus…je sais où tu étais… Tu étais des profondeurs de ces longues nuits qui n’en finissent pas, et qui, inlassablement, s’habitent du chagrin qui fait l’Homme. […]
. L’hiver était venu et, avec lui, une sérénité paisible et pure qui avait chu sur les étangs gelés, figés comme des minéraux et sur la forêt endormie qu’elle habitait […]
. Aimer c’est se mesurer à l’incommensurable habillé de la seule armure de sa fragilité, c’est sonder l’insondable profondeur de l’autre jusque dans les plus ultimes retranchements de sa vulnérabilité, […]
. Je suis telle la vague dont le destin escorte l’errance et qu’il ramène inexorablement vers le rivage, où le ressac, inlassablement la fracasse, pour n’être plus qu’écume gisant, offerte, […]
. Parlez-moi du chant des étoiles, de l’infini de l’univers, de la difficulté d’aimer et de la douleur de vivre, parlez-moi de la vie après la vie que je crois […]