À Émilie (Nathalie Gauvin)
. Toi qui fus mon île, mon refuge et mon rêve Ma terre d’asile, ma prière et ma trêve Toi qui m’as porté sur les ailes du vent D’un amour […]
. Toi qui fus mon île, mon refuge et mon rêve Ma terre d’asile, ma prière et ma trêve Toi qui m’as porté sur les ailes du vent D’un amour […]
. J’ai souvenance d’un chant si beau qui résonnait Comme l’écho des cathédrales en prière Des mains d’offrandes qui jamais ne se refusaient Qui rendaient grâce en s’écorchant contre la […]
. Secrète Muse, je ne te vois, ni ne t’entends Mon verbe s’use à te chercher où tu n’es pas. Je me refuse à n’effleurer qu’un court instant Celle qui […]
. Et la mer était blanche Écumant d’une rage Qui s’était fait tourmente À tous les vents du large Déchirant des orages À profaner ces temples Que ta voile contemple […]
. Si des affres de la tourmente Je crois que j’ai franchi le pire Il reste tant à rebâtir Est-il un port où jeter l’ancre? Des eaux qui ne me […]
Si la sensibilité et la vulnérabilité des êtres sont les pierres d’assises de la poésie, elles sont aussi les tendons d’Achille de la vie… (Nathalie Gauvin) . Un jour, te […]
. Qui se souviendra de nous, Aux confins de l’univers? Duquel de nos rêves fous Survivra la lumière? Pour qu’au-delà de tout, L’espoir qui nous enivre Réinvente après nous Des […]
. Un destin qui vous nargue Comme ces mers étales Que ceignent de saphirs Des eaux de cristal Où feignent de mourir Et le vent et la vague Et l’haleine […]
. Toi qui n’es plus…je sais où tu étais… Tu étais des profondeurs de ces longues nuits qui n’en finissent pas, et qui, inlassablement, s’habitent du chagrin qui fait l’Homme. […]
À monsieur Serge Thériault et à tous ceux qui souffrent de dépression . Je connais bien ce mal infâme qui vous ronge, pour l’avoir, hélas, moi aussi courtisé de trop […]