Des hommes comme mon père (Nathalie Gauvin)
. Des hommes comme Maxime, mon père, disait-elle, sculptés à même le roc des falaises qui défendent la beauté d’un rivage lacinié d’anses secrètes, en bravant, inlassablement, la fureur impitoyable […]
. Des hommes comme Maxime, mon père, disait-elle, sculptés à même le roc des falaises qui défendent la beauté d’un rivage lacinié d’anses secrètes, en bravant, inlassablement, la fureur impitoyable […]
. J’avais, me disait ma mère à me humer, la fraîcheur de la mousse qui tapisse les bois où l’ombre se fait douce, cette haleine sucrée fleurant les fraises des […]
. J’avais une vie avant… Une vie douce et sereine, étrangère aux naufrages de l’existence. Une vie, qui se croyait ancrée de raison et dont les roulis et le tangage, […]