Jadis Syrinx, ma rose mie,
Quand volait guêpe et chantait pie
Dans la verte sylve du monde,
Tes fariboles dansaient, rondes.
Mais Syrinx, le mien centenaire
Peint le bleu plafond de poussière.
Satyre investit dans la brume.
Il s’enrichit mais tu t’enrhumes.
Là, Syrinx, ne t’étouffe pas.
Pense au moineau. L’arbre te voit.
Un faon s’abreuve à ta citerne.
Si tu te tais, comment fera
Le lapin pour danser au bois.
Chante Syrinx. Chante l’eau terne.