Nous voilà vêtues de soir et de
sourire de Lune
avec nos os, douce l’heure
antalgique
des chemins usés pleins les
paupières
et des rêves à défricher comme
naguère
mais plus modestes et plus logiques
et nous voilà revêtues d’espoirs à
parcourir la Lune
naissent pas