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Si ton corps était un oiseau,
Je me ferais coller des ailes,
Quitter ma vie, le vent dans l’dos,
Pour t’aimer plus haut que le ciel.
Quitter ma vie le vent dans l’dos,
Pour t’aimer plus haut que le ciel.
Si ton corps était un voyage,
Je le suivrais au bout du monde,
Aborder ton ile en trois secondes,
Sans boussole pis sans bagage.
Aborder ton ile en trois secondes,
Sans boussole pis sans bagage.
Si ton corps était un pays,
Ce s’rait celui de l’espérance,
Des jours heureux, ceux de l’enfance,
D’où je n’serais jamais parti.
Des jours heureux, ceux de l’enfance,
D’où je n’serais jamais parti.
Si ton corps était un oiseau,
Je me ferais pousser des ailes,
Quitter ma vie le vent dans l’dos,
Pour t’aimer plus haut que le ciel.
Quitter ma vie le vent dans l’dos,
Pour t’aimer plus haut que le ciel.