Opaline Opale, laisse la lumière réfléchir, se révélant hors du temps
Sa carnation incarne son intérieur, un puissant mouvement vers sa libération
Au ciel de ses interrelations de ses passions se joint une Paix Solitaire
L’intercalation entre ses idées et ses créations demeure un mystère
Elle sait où se trouve l’endroit précis de ses délices intermédiaires
Sur son canapé, son esprit commande de ne rien faire
Samedi et dimanche, seul lieu, elle règne en reine de l’immobile
Un sanctuaire sacré de l’esprit libre, sans convention sa raison s’efface
L’intuition en maîtresse révèle les saveurs des sens sans labeur, sans tentation
L’état de grâce s’infiltre comme une vague dans ses attaches, qu’elle largue
Largue lave larve, larve mortelle crépite, démasque sa divinité qui se révèle
Brille rose Opaline Opale, chevauche l’éternel, n’a de départ et de finalité que l’abandon
Le sublime la transporte, elle s’élève aux confins des éléments, hors de portée fusionne
Hommage à ma cousine