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Pétales roses pommiers allongés, l’ombre dansante les recouvre, saisie conquise
En même temps que le tintamarre carillons des célébrants des clochers d’église.
Le tombant du jour achève les tourbillons sonores, mon cœur dénudé s’ébruite
Au mélange du nuptial cortège éphémère, béate le sublime me tend, m’abrite