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Rose ronde d’amour, celle de notre rencontre, un soir d’été de braise
Soyeuse ouverte au creux de promesses de tes mains jusqu’à tes yeux
Seul ce regard, seul suffit, celui tapi de chair des deux unis amoureux
Certitude, bousculant, nous propulsant à la porte d’infinies parenthèses
Tu honores l’étendu sur l’herbe, au croisement d’effluves des sons dièses