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Mille et un soleils dorés te foudroient depuis.
C’est venu de loin, sans s’annoncer.
Ça étreint tes reins puis ça insomnie.
Assoupie au creux du mirage
Tu l’attends.
Bercée,
Sortie de la couche de temps
Dans un satori du désir
Ravie en corps et en âme
Tu t’enroules, t’étires, t’allonges
Ébranles le prêt-à-penser
Jusqu’au moment où tu oses nommer le sublime.
Jusqu’au bonheur d’être et d’avoir. Avec lui et en toi.
C’est déclaré
C’est l’amour fol.
oh! c’est beau ce poème pour moi c’est le nirvana merci