Le deuil de te perdre (Pierre Charles Généreux)
. La face de la beauté n’est que symétrie,Sa glorieuse aurore toujours se renouvelle.Les frissons de la chair, la volupté des nuits,Elle détient le secret de les rendre immortels. L’éloquence […]
. La face de la beauté n’est que symétrie,Sa glorieuse aurore toujours se renouvelle.Les frissons de la chair, la volupté des nuits,Elle détient le secret de les rendre immortels. L’éloquence […]
. —Je m’appelle Rosalie. Oui Rosalie Dubon. J’ai dix-huit ans. Oui. J’habite le village. J’étudie au Musée vous savez. Pas de questions sur mon occupation… J’en suis plutôt fière pourtant. […]
L’album de photos est apportéLa fin le traverse, lenteLes images j’ai trouvéesLa mort est imminente On se retrouve sur le litPrès du feuillage de nos coeursLe jeune homme ritmalgré […]
. Nous sommes le samedi 30 janvier 1965 et le premier ministre britannique Winston Spencer Leonard Churchill vient de mourir, une semaine auparavant. Mon père, ancien combattant de la marine […]
Laisse-moi dériver avec toi Vers ce présent sans futur Cette source limpide et pure Ne lâche surtout pas mes doigts… (p. 88) . La poésie et la prose de Jeannine […]
. Une question se pose en permanence quand on lit de la fiction: celle de la force d’évocation. Comment, par quel mystère ondoyant, aussi intangible que savoureusement satisfaisant, un traitement […]