Le deuil de te perdre (Pierre Charles Généreux)
. La face de la beauté n’est que symétrie,Sa glorieuse aurore toujours se renouvelle.Les frissons de la chair, la volupté des nuits,Elle détient le secret de les rendre immortels. L’éloquence […]
. La face de la beauté n’est que symétrie,Sa glorieuse aurore toujours se renouvelle.Les frissons de la chair, la volupté des nuits,Elle détient le secret de les rendre immortels. L’éloquence […]
Il n’est pas rare que l’on éprouve une grande tendresse pour une personne qui nous est proche et chère. Pour un ami ou une amie. Pour un frère ou une […]
On la réserve d’abord aux grands de ce monde. Sans réserves ni hésitations, à défaut d’être jugé. On nommera donc Gandhi, Einstein, Beethoven, Picasso, Mère Thérésa… Bien sûr, c’est justifié. […]
Vieux jeu, la galanterie ? Allons donc. Ce qui est vieux jeu, c’est plutôt de la tenir pour un vestige d’une époque révolue, de croire que considérer les femmes comme étant […]
Un tendre mais distant moment d’interaction entre Marie Fernande Catherine (jouée par une correspondante anonyme) et le sombre meurtrier des Yvelines. Cet échange est cité depuis l’officine de correspondance d’Henri-Désiré Landru […]